Présentation de flipper : HI SCORE POOL (Chicago Coin’s)
- bérenger cédric
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Présentation de flipper : HI SCORE POOL (Chicago Coin’s)
Parmi l’industrie du flipper, on trouve tout un tas de machines plus ou moins hybrides. Pas vraiment des flippers, mais quand même doté de doigts de flips pour renvoyer la bille.
A quoi doit-on s’arrêter pour définir le genre. Quelles sont les critères pour classer certains jeux dans telle ou telle catégorie ?
C’est le cas du jeu que j’ai choisi de présenter ici.
Il s’agit d’un flipper fabriqué par la firme Chicago Coin’s.
Plus précisément, à l’époque ou celle-ci fut racheté et devenu la Chicago dynamique industrie comme le témoigne les lettres CDI sur l’aprom.
Cette marque sera en suite racheté par Stern en 1977 pour créer quelques magnifiques flippers, tant appréciés des collectionneurs.
elle fut assez peu distribuée en France pour ces flippers, mais bien d’avantage pour les jeux de tir. Elle fabriquait une grande diversité de produits, on trouve des bat games, des tirs, des conduites, des simulateurs et autres jeux, très appréciés des Américains. Elle a toujours était présente dans le monde des machines à monnayeur et propose des flipperless et des playouts depuis sa création en 1932.
Donc pourquoi ne pas découvrir quelque chose d’un peu différent, d’autant plus que ce jeu étonne à plus d’un titre.
Pas forcement par son graphisme, car il est l’œuvre de Christian Marche donc très répandu dans le monde de l’automatique des années 1970’s.
Sa patte est reconnaissable entre mille.
Ce jeu est sorti en 1971, et ne possède que deux joueurs.
Le meuble est lui aussi passe partout et a sans doute servit à accueillir pas mal de jeux différents.
Pour ce qui n’ont jamais un l’occasion d’avoir un flip de cette marque entre les mains, il faut savoir qu’il possède sa propre mécanique qui n’est nullement une copie des marques plus connus chez nous que sont Gottlieb et Williams.
Je vous laisse admirer l’intérieur de la caisse et quelques une des parties mécaniques.
Remarquez les lamelles à double contacts.
Et le mécanisme si particulier du moteur. On notera la présence du switch permettant de couper l’alim du moteur pour faciliter le dépannage.
L’énorme rampe qui gère les 15 boulles de l’animation du plateau.
Les prémices des xylophones, une caisse de résonnance en bois et une lame métallique au dessus.
Double compteur, un pour le monnayeur et un pour les parties gagnées en jouant.
Classique tilt pendulaire, knocker et prise de service.
Passons maintenant au fronton.
Celui-ci possède toujours ces cales de transport.
Belle mécanique.
La batterie d’unités qui gèrent les phases de jeu. Pour le paramétrage en add a ball, la fréquence de l’étoile, le comptage des racks obtenus, et le nombre de billes jouées
De multiples réglages sont proposés pour permettre d’ajuster les difficultés du jeu, notamment la fréquence de l’apparition de l’étoile sur le plateau. on verra son utilité plus loin.
Les rouleaux en plastique sont massifs (comme sur les midway) et pourvu d’un circuit imprimé qui remplace avantageusement les traditionnels contacts tant difficiles à régler pour les amateurs du genre.
On notera la très astucieuse tirette permettant d’actionner de façon pratique les rouleaux.
Bouhhh que mes doigts sont sales !
3 rouleaux seulement, les deux autres sont factices. Pas d’incidence car il n’y a pas de loterie sur cette machine.
L’unité de crédits est des plus classiques.
Le fronton se referme par une plaque de bois et non pas une tôle, sur laquelle est affichée tout ce que vous avez besoin de savoir sur le fonctionnement de la mécanique. Plan inclus.
bon, maintenant que vous avez assimilé les entrailles de la bête,
voyons le game play .
il s’agit tout simplement d’éteindre les 15 boules de billard, (car il ne vous aura pas échappé que ce jeu à celui-ci pour thème), et ceux via une bille de dimension bien inférieur à ce qui se fait habituellement, projetée par un canon central qui oscille indéfiniment jusqu'à son départ.
Celle-ci passe sous le plateau ou les boules sont allumées et touche sur son passage des contacts correspondant à chacune d’entre elles. Le plateau sur lequel circule la bille est entièrement nu.
Il n’est pas obligatoire d’éteindre le rack dans l’ordre, même si des trajectoires sont tracées sur le plateau supérieur et sont sensées vous aider dans l’orientation de vos tirs.
Car il faut bien comprendre que pour gagner il y a deux solutions.
Soit éteindre trois fois le rack complet des 15 boules durant la même bille de jeu, soit éteindre une seule fois le rack mais en éteignant la dernière boule seulement quand l’étoile est allumée. inutile de vous dire que c’est très dur à réaliser. Même en augmentant au maximum la fréquence d’obtention de l’étoile qui apparait et disparait en fonction des touches sur les slingshots qui eux, seconde très bien les deux flippers. Flipper qui sont de grande taille, on est au tout début de ce genre d’accessoire à cette époque.
Une fois un rack éteint, le jeu se coupe et la bille revient dans le lanceur (batteurs inactifs). Là, il vous est crédité le bonus affiché sur la backglass ( qui augment en fonction de la bille en jeu). Plus 1 chiffre indiquant le nombre de rack éteint.
Votre bille n’est pas considéré comme perdue, vous relancez un shoot et projetez au nouveau la bille sur le plateau. le tir se fait chaque fois par le bouton du flipper droit.
A cause de sa taille réduite, la bille atteint une vitesse redoutable et de plus les deux tiers de l’espace de jeu étant cachés, c’est au tout dernier moment que l’on voit ressurgir la bille. Il faut donc des reflexes exacerbés pour arriver à un vague contrôle.
Voilà pour la partie jeu.
On va s’attarder sur quelques détails originaux.
D’abord, ces boules de billard en plastiques. Elles ont un bel effet, jeu dans le noir, mais ne sont pas franchement très belles le reste de temps. Elles sont composées de demies sphères emboités entre elles et dans le plateau. une ampoule est au centre. Un repère sur le bois est inscrit pour ne pas confondre le numéro de bille.
Rien de très excitant du point de vu technique.
Par contre, le lanceur automatique est fabuleux !
Visez les bagues en laitons permettant via des trainards métalliques d’avoir une connexion permanente.
Un moteur, à un seul sens de rotation, entraine le mouvement oscillatoire grâce au jeu de cames (bielle).
Mais le plus étonnant se situ dans la partie supérieur. Effectivement, il ne s’agit pas d’un vulgaire contact logé dans le couloir de la bille, mais d’un système avec un aimant. Quand la bille rentre dans son logement, elle attire l’aimant qui entraine un changement de position d’une pièce métallique montée sur un axe, ce qui à pour effet de fermer un contact se trouvant de l’autre côté de cette tige. Très astucieux, ça évite les imprécisions dû au rebond que pourrait avoir la bille dans son logement (pur déduction de ma part).
Une merveille de mécanique, je vous dis !
On remarque également les deux grosses ampoules en 110v venant littéralement irradier l’intérieur de l’aprom.
On doit cette merveille de technologie à Wendell McAdams qui fut à l’origine de la conception de la plus part des flippers de la marque dans les années 70’s et de surement bien d’autres machines.
Un petit tour pour finir par le côté esthétique de la bête, qui ne plaira pas à tous le monde. Déjà parce que le style Christian Marche n’a pas que des adeptes, et parce que la caisse utilisant des couleurs mauves se voit fort défraichie par le temps, vu que cette teinte ne supporte pas le poids des ans.
on remarque qu’aucune place n’est laissée à la déco sur le plateau, on peut se dire que c’est pour mieux faire ressortir les boules plastiques.
La backglass à quelques détails sympas, tel ce pauvre joueur de billard complètement absorbé par le postérieur de la belle joueuse et qui ne peut plus se concentrer.
Concentré, l’est surement cet autre personnage qui ne se prive pas du coup d’œil même en présence de sa régulière qui ne semble pas voir les choses sous le même angle.
Heureusement le serveur vient tempérer le tout pour éviter l’émeute.
que serait le monde sans les blondes !
Pour conclure, je dirai que ce jeu remplace le manque d’attrait et de jouabilité certain du gameplay par une originalité qui est très attachante, voir charmante.
De plus il est relativement rare sur le sol français, donc ça vaut le coup de s’y attarder lorsqu’ on en croise un en état de fonctionnement.
Bon flip à tous !
cédric
A quoi doit-on s’arrêter pour définir le genre. Quelles sont les critères pour classer certains jeux dans telle ou telle catégorie ?
C’est le cas du jeu que j’ai choisi de présenter ici.
Il s’agit d’un flipper fabriqué par la firme Chicago Coin’s.
Plus précisément, à l’époque ou celle-ci fut racheté et devenu la Chicago dynamique industrie comme le témoigne les lettres CDI sur l’aprom.
Cette marque sera en suite racheté par Stern en 1977 pour créer quelques magnifiques flippers, tant appréciés des collectionneurs.
elle fut assez peu distribuée en France pour ces flippers, mais bien d’avantage pour les jeux de tir. Elle fabriquait une grande diversité de produits, on trouve des bat games, des tirs, des conduites, des simulateurs et autres jeux, très appréciés des Américains. Elle a toujours était présente dans le monde des machines à monnayeur et propose des flipperless et des playouts depuis sa création en 1932.
Donc pourquoi ne pas découvrir quelque chose d’un peu différent, d’autant plus que ce jeu étonne à plus d’un titre.
Pas forcement par son graphisme, car il est l’œuvre de Christian Marche donc très répandu dans le monde de l’automatique des années 1970’s.
Sa patte est reconnaissable entre mille.
Ce jeu est sorti en 1971, et ne possède que deux joueurs.
Le meuble est lui aussi passe partout et a sans doute servit à accueillir pas mal de jeux différents.
Pour ce qui n’ont jamais un l’occasion d’avoir un flip de cette marque entre les mains, il faut savoir qu’il possède sa propre mécanique qui n’est nullement une copie des marques plus connus chez nous que sont Gottlieb et Williams.
Je vous laisse admirer l’intérieur de la caisse et quelques une des parties mécaniques.
Remarquez les lamelles à double contacts.
Et le mécanisme si particulier du moteur. On notera la présence du switch permettant de couper l’alim du moteur pour faciliter le dépannage.
L’énorme rampe qui gère les 15 boulles de l’animation du plateau.
Les prémices des xylophones, une caisse de résonnance en bois et une lame métallique au dessus.
Double compteur, un pour le monnayeur et un pour les parties gagnées en jouant.
Classique tilt pendulaire, knocker et prise de service.
Passons maintenant au fronton.
Celui-ci possède toujours ces cales de transport.
Belle mécanique.
La batterie d’unités qui gèrent les phases de jeu. Pour le paramétrage en add a ball, la fréquence de l’étoile, le comptage des racks obtenus, et le nombre de billes jouées
De multiples réglages sont proposés pour permettre d’ajuster les difficultés du jeu, notamment la fréquence de l’apparition de l’étoile sur le plateau. on verra son utilité plus loin.
Les rouleaux en plastique sont massifs (comme sur les midway) et pourvu d’un circuit imprimé qui remplace avantageusement les traditionnels contacts tant difficiles à régler pour les amateurs du genre.
On notera la très astucieuse tirette permettant d’actionner de façon pratique les rouleaux.
Bouhhh que mes doigts sont sales !
3 rouleaux seulement, les deux autres sont factices. Pas d’incidence car il n’y a pas de loterie sur cette machine.
L’unité de crédits est des plus classiques.
Le fronton se referme par une plaque de bois et non pas une tôle, sur laquelle est affichée tout ce que vous avez besoin de savoir sur le fonctionnement de la mécanique. Plan inclus.
bon, maintenant que vous avez assimilé les entrailles de la bête,
voyons le game play .
il s’agit tout simplement d’éteindre les 15 boules de billard, (car il ne vous aura pas échappé que ce jeu à celui-ci pour thème), et ceux via une bille de dimension bien inférieur à ce qui se fait habituellement, projetée par un canon central qui oscille indéfiniment jusqu'à son départ.
Celle-ci passe sous le plateau ou les boules sont allumées et touche sur son passage des contacts correspondant à chacune d’entre elles. Le plateau sur lequel circule la bille est entièrement nu.
Il n’est pas obligatoire d’éteindre le rack dans l’ordre, même si des trajectoires sont tracées sur le plateau supérieur et sont sensées vous aider dans l’orientation de vos tirs.
Car il faut bien comprendre que pour gagner il y a deux solutions.
Soit éteindre trois fois le rack complet des 15 boules durant la même bille de jeu, soit éteindre une seule fois le rack mais en éteignant la dernière boule seulement quand l’étoile est allumée. inutile de vous dire que c’est très dur à réaliser. Même en augmentant au maximum la fréquence d’obtention de l’étoile qui apparait et disparait en fonction des touches sur les slingshots qui eux, seconde très bien les deux flippers. Flipper qui sont de grande taille, on est au tout début de ce genre d’accessoire à cette époque.
Une fois un rack éteint, le jeu se coupe et la bille revient dans le lanceur (batteurs inactifs). Là, il vous est crédité le bonus affiché sur la backglass ( qui augment en fonction de la bille en jeu). Plus 1 chiffre indiquant le nombre de rack éteint.
Votre bille n’est pas considéré comme perdue, vous relancez un shoot et projetez au nouveau la bille sur le plateau. le tir se fait chaque fois par le bouton du flipper droit.
A cause de sa taille réduite, la bille atteint une vitesse redoutable et de plus les deux tiers de l’espace de jeu étant cachés, c’est au tout dernier moment que l’on voit ressurgir la bille. Il faut donc des reflexes exacerbés pour arriver à un vague contrôle.
Voilà pour la partie jeu.
On va s’attarder sur quelques détails originaux.
D’abord, ces boules de billard en plastiques. Elles ont un bel effet, jeu dans le noir, mais ne sont pas franchement très belles le reste de temps. Elles sont composées de demies sphères emboités entre elles et dans le plateau. une ampoule est au centre. Un repère sur le bois est inscrit pour ne pas confondre le numéro de bille.
Rien de très excitant du point de vu technique.
Par contre, le lanceur automatique est fabuleux !
Visez les bagues en laitons permettant via des trainards métalliques d’avoir une connexion permanente.
Un moteur, à un seul sens de rotation, entraine le mouvement oscillatoire grâce au jeu de cames (bielle).
Mais le plus étonnant se situ dans la partie supérieur. Effectivement, il ne s’agit pas d’un vulgaire contact logé dans le couloir de la bille, mais d’un système avec un aimant. Quand la bille rentre dans son logement, elle attire l’aimant qui entraine un changement de position d’une pièce métallique montée sur un axe, ce qui à pour effet de fermer un contact se trouvant de l’autre côté de cette tige. Très astucieux, ça évite les imprécisions dû au rebond que pourrait avoir la bille dans son logement (pur déduction de ma part).
Une merveille de mécanique, je vous dis !
On remarque également les deux grosses ampoules en 110v venant littéralement irradier l’intérieur de l’aprom.
On doit cette merveille de technologie à Wendell McAdams qui fut à l’origine de la conception de la plus part des flippers de la marque dans les années 70’s et de surement bien d’autres machines.
Un petit tour pour finir par le côté esthétique de la bête, qui ne plaira pas à tous le monde. Déjà parce que le style Christian Marche n’a pas que des adeptes, et parce que la caisse utilisant des couleurs mauves se voit fort défraichie par le temps, vu que cette teinte ne supporte pas le poids des ans.
on remarque qu’aucune place n’est laissée à la déco sur le plateau, on peut se dire que c’est pour mieux faire ressortir les boules plastiques.
La backglass à quelques détails sympas, tel ce pauvre joueur de billard complètement absorbé par le postérieur de la belle joueuse et qui ne peut plus se concentrer.
Concentré, l’est surement cet autre personnage qui ne se prive pas du coup d’œil même en présence de sa régulière qui ne semble pas voir les choses sous le même angle.
Heureusement le serveur vient tempérer le tout pour éviter l’émeute.
que serait le monde sans les blondes !
Pour conclure, je dirai que ce jeu remplace le manque d’attrait et de jouabilité certain du gameplay par une originalité qui est très attachante, voir charmante.
De plus il est relativement rare sur le sol français, donc ça vaut le coup de s’y attarder lorsqu’ on en croise un en état de fonctionnement.
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cédric
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plus rien! sauf ça.
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- milan
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Re: Présentation de flipper : HI SCORE POOL (Chicago Coin’s)
Merci de présenter cette rareté !...
Le prix s'oublie, la qualité reste... (les tontons flingueurs)
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Re: Présentation de flipper : HI SCORE POOL (Chicago Coin’s)
Belle présentation que voila
Merci pour les infos et photos
Merci pour les infos et photos
Mécanique un jour,Mécanique toujours.
7 iémes Rencontre Flipper en Dordogne A Montrem
http://www.collectionneursdeflippers.com/mitsu 24
7 iémes Rencontre Flipper en Dordogne A Montrem
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Re: Présentation de flipper : HI SCORE POOL (Chicago Coin’s)
Très belle pièce n est ce pas Eric
Merci pour la présentation
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Re: Présentation de flipper : HI SCORE POOL (Chicago Coin’s)
Bonsoir,
Beau jeu !
Merci pour cette présentation qui sort de l’ordinaire. C’est vrai que Chicago Coin’s a fait de la très belle mécanique.
Et quelle variété dans les jeux..
J'ai un xylo quasi identique sur le bally bowler...
Beau jeu !
Merci pour cette présentation qui sort de l’ordinaire. C’est vrai que Chicago Coin’s a fait de la très belle mécanique.
Et quelle variété dans les jeux..
J'ai un xylo quasi identique sur le bally bowler...
www.collectionneursdeflippers.com/ballycrazy
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Re: Présentation de flipper : HI SCORE POOL (Chicago Coin’s)
Merci Cédric pour cet article instructif et très détaillé
J'imagine bien cet exemplaire dans ta magnifique collection
J'imagine bien cet exemplaire dans ta magnifique collection
Canada Dry -+- Fathom -+- Black Hole US -+- Spirit -+- Haunted House -+- T2 -+- TAF -+- CFTBL -+- TZ -+- NGG -+- RFM -+- Bally 742A -+- Scorpion 9000 -+- MameCab Recalbox -+-
Dans l'atelier : Canada Dry ----- Cherche : Safe Cracker (contact mp)
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Re: Présentation de flipper : HI SCORE POOL (Chicago Coin’s)
Super présentation pour ce jeu vraiment pas courant et pas dénué d'intérêt non plus, merci maestro
A+
Fred
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- RipleYYY
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Re: Présentation de flipper : HI SCORE POOL (Chicago Coin’s)
y'en a 1 à vendre à 3 km de chez moi, dans un shop "vintage"...
et en ce qui concerne les détails backglass, toujours à conotation sexuelle sur la plupart de nos flips, je pense que t'as oublié le plus évident, soit la façon dont la dame tient la queue (...) de billard, et la position de la main et du bras
pour ceux qui jouent au billard, c'est clairement une position anormal
par contre, si tu me dis qu'elle bran*e l'ours, alors là je suis d'accord
et en ce qui concerne les détails backglass, toujours à conotation sexuelle sur la plupart de nos flips, je pense que t'as oublié le plus évident, soit la façon dont la dame tient la queue (...) de billard, et la position de la main et du bras
pour ceux qui jouent au billard, c'est clairement une position anormal
par contre, si tu me dis qu'elle bran*e l'ours, alors là je suis d'accord
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Re: Présentation de flipper : HI SCORE POOL (Chicago Coin’s)
Merci pour cette présentation d'une machine étonnante au plus haut point et jamais rencontrée au cours de mes pérégrinations multiples dans le monde du flipper.
Bien amicalement
Bien amicalement
- Madé
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Re: Présentation de flipper : HI SCORE POOL (Chicago Coin’s)
une belle trouvaille félicitation pour ta pinball .
et belle présentation , je lavait jamais vue cette pinball.
et belle présentation , je lavait jamais vue cette pinball.